En plus des cinq bassins prévus, Le centre aquatique propose également un espace de détente avec une salle de hammam, trois salles de sauna, des douches hydrothérapiques.
Un projet qui nécessite le recrutement par la Carène d’une vingtaine de salariés : maître nageurs, techniciens, service de nettoyage.
Les bassins de l’Aquaparc sont pleins. Et pas de mauvaise surprise, la chaufferie fonctionne, tant pour l’air que pour l’eau. Les essais menés depuis le début du mois de mars sont déterminants. La Ville a donc validé la date de l’ouverture au public : le 21 avril, une semaine avant le début des vacances de printemps.
C’est un bracelet magnétique et hautement perfectionné qui vous ouvrira les portes de la piscine ; il fonctionnera par magnétisation avec un portillon (comme dans les métros parisiens) et une borne qui activera ce dernier si vous avez « chargé » en payant votre entrée ou votre pass de 10 entrées. Le bracelet ne souffrira pas de son séjour dans l’eau et devra être déposé dans une trappe (si vous avez choisi « la journée ») avant votre départ pour éviter les fraudes. Nouveauté : des casiers spécifiques à l’entrée pour vos casques de moto. Les autres (706), situés au niveau des vestiaires fonctionneront avec votre bracelet.
Jean-Pierre Gomis
et Maxence Boide (2BTU)

La piscine comporte 5 bassins dont l’un de 25 m de longueur sur 20 m de largeur, 3 m de profondeur, rempli par 1040 m3 d’eau et comportant 8 lignes d’eau. Le bassin est à 27°C. Il sera utilisé pour accueillir des compétitions comme le Championnat du monde des entreprises, des compétitions pour les clubs car la piscine sera à la disposition des clubs de natation de la ville de Saint-Nazaire. Aussi pour ces compétitions, des tribunes ont été construites pour que le public puisse assister et encourager les nageurs. La Carene a choisi de ne pas réaliser un bassin olympique car elle voulait privilégier l’aspect ludique tout en conservant la possibilité de compétitions régionales et nationales.
Lucas Planchenault
et Arthur Josso (2BTU)

De l’extérieur, on peut apercevoir de nombreuses baies vitrées qui permettent une grande luminosité dans la piscine.
Dans l’entrée, c’est plutôt moderne : des écrans comptabilisant le nombre d’entrées des portails magnétiques. Lorsque l’on pénètre dans l’enceinte de la piscine l’ambiance est naturelle et végétale. Les piliers pour renforcer la structure sont faits en béton fibré, ils représentent des algues. Au plafond des sphères blanches pour l’éclairage de nuit, pareilles à des bulles d’écume. La mer, c’est la piscine à vagues ! Autour des bassins, des arbres et de fausses roches s’installent…
Quelques touches de couleur : le bleu pour jouer, le vert pour apprendre à nager et le rouge pour se dépasser.
Hugo Perez et Lubin Cordeau (2BTU)

La piscine à vagues, profonde d’1,70 m, fonctionne avec des turbines situées sous les bassins, en sous-sol, et qui propulsent de l’air. L’eau imite au départ les mouvements de la marée puis quand la turbine se met en marche, cela fait place à de grosses vagues qui montent en pointe au centre. Cette dernière est contrôlée par un moniteur électronique. Nul doute que cette attraction ainsi que les rangées de toboggans situées tout près attirent de nombreuses personnes à la recherche de sensations.
Théo Pillons, Léo Mahé
et Lucas Druet (2BTU)

Sous les bassins se trouve tout un réseau de tuyauterie assez complexe, efficace mais coûteux en énergie. Le filtrage de l’eau est mis en œuvre grâce à des cuves remplies de billes de verre, qui sont le moyen le plus écologique pour filtrer l’eau qui arrive par des tuyaux sous les bassins. Cette eau filtrée va chauffer la nouvelle eau et va permettre un plus écologique car on consommera moins de gaz (25% d’économie sur la facture) ; sachant que par baigneur, on doit ajouter 30 litres d’eau propre par jour, c’est la législation.
Lucas Planchenault (2BTU)